« Dans un premier temps, nous avons appris à connaître FLOWSPARKS, car nous étions à la recherche d’une entreprise capable de réaliser pour nous des formations numériques » poursuit Ozge. « Nous devions en effet développer des formations obligatoires, notamment sur notre Procurement & Purchasing Policy, par exemple. L’équipe de FLOWSPARKS l’a fait pour nous. Mais lorsque la crise du coronavirus a éclaté, nous nous sommes rendus compte que nous avions besoin de nos propres auteurs. Ceux-ci ont été formés par l’équipe FLOWSPARKS pour apprendre à créer eux-mêmes de l’e-Learning.
Grâce à FLOWSPARKS, nous avons pu informer nos collaborateurs et les visiteurs dans nos usines de nos instructions et mesures de sécurité en vigueur pendant la pandémie. Un exemple parfait de l’importance de pouvoir réagir de manière flexible et rapide aux nouvelles situations. FLOWSPARKS nous a aidés à faire cela. »
Approche structurée
Bridgestone a cherché les moyens de faciliter le développement de modules e-Learning dans toute la région EMIA. « C’est pourquoi nous avons créé une structure au sein de laquelle mon département conserve une vue d’ensemble de tout le contenu personnalisé que les différentes entités développent dans FLOWSPARKS », explique Ozge. « Nous approuvons également chaque e-Learning avant sa publication. »
L’équipe d’Ozge compte trois superadmins. Chaque entité (un pays ou un site chez Bridgestone) compte un « advanced author ». Ces personnes sont formées à l’utilisation de FLOWSPARKS et ont développé au moins une formation elles-mêmes. Elles travaillent en contact étroit avec le service RH et les spécialistes L&D. FLOWSPARKS a développé différents templates sur mesure pour Bridgestone et a mis au point des tutoriels qui expliquent de quelle manière utiliser ces modèles pour créer des modules simples et prêts à l’emploi sur n’importe quel sujet.
Les superadmins gardent la vue d’ensemble. « Si, par exemple, nous remarquons que la Pologne a développé un e-Learning intéressant dont nous savons qu’il aurait aidé nos collaborateurs en Italie, nous tâchons alors de mettre en relation les « advanced authors » des deux pays. »
Ces auteurs sont également les personnes auxquelles les collaborateurs/départements peuvent s’adresser lorsqu’ils souhaitent développer un module numérique, mais éprouvent des difficultés à s’exprimer en anglais, par exemple. « Nos ouvriers possèdent énormément de connaissances professionnelles, mais pour certains, il n’est pas facile de les partager en anglais. Pour cela, ils peuvent donc faire appel aux « advanced authors ». Ces derniers doivent également surveiller les besoins en formation dans l’entité dont ils sont responsables. »
« Jusqu’à présent, douze auteurs ont suivi leur formation. Nous démarrerons avec un deuxième groupe en septembre. D’ici la fin de l’année, nous voulons disposer de 24 modules e-Learning. Nous avons une communauté FLOWSPARKS au sein de laquelle nous pouvons partager les mises à jour, les connaissances et les meilleures pratiques », explique Ozge. « Et point important : nous espérons un changement de mentalité où les gens prendront l’initiative de créer eux-mêmes du contenu. Nos « advanced authors » et nos collègues des RH se montrent en tous les cas déjà très enthousiastes. Nous sommes impatients de promouvoir FLOWSPARKS et d’expliquer à nos collaborateurs, où qu’ils soient, qu’ils peuvent partager leurs connaissances et élaborer des cours d’e-Learning dans toutes les langues. Avec FLOWSPARKS, ils disposent d’un excellent outil pour cela », conclut-elle.